9.05.2010

Venizia

La ville carte postale. 
Voir Venise et mourir. C'est un peu ça. Même beaucoup. 
Un dédale de ruelles, toutes petites, minuscules, qui s'entremêlent à des "ruelles d'eau". C'est magnifique. Dépaysant. Hors du commun. Extraordinaire. Juste Venise. 
Une occasion en or de découvrir cette ville - à quelques heures de bateaux de la Croatie - en amoureux, qui plus est.
Une chaleur étouffante. 
Un resto italien. 
Des touristes partout. C'est finalement ce qu'il y a sans doute de plus écoeurant dans cette ville, de plus horripilant, tous ces touristes qui grouillent de partout et qui prennent tous les mêmes photos. Nous en faisons partis bien entendu. Je me demande s'il y a une période de l'année où Venise est vide, où il n'y a que les autochtones. Je ne pense pas, et n'imagine pas comme ça doit être épuisant en tant que venisien (?) de vivre dans cette ville à longueur d'année. Comme une impression que cette ville n'appartient à personne, qu'elle est livrée aux touristes, à longueur d'années. Ce doit être dur de se l'approprier. 
Le temps d'une journée, c'était un délice de se perdre avec lui dans Venise.
























































Lui voyez c'est mon Paul. C'est un vrai homme. Qui prend soin de moi. Qui m'aime quand je ne suis pas maquillée, m'aime au naturel et en redemande. Je perds mes mots souvent quand il s'agit de parler de lui. Voyez lui c'est ma came. Avec lui tout est agréable, visiter Venise mais aussi regarder la télé un dimanche. Je l'aime pour des centaines, des milliers, des millions de raisons que je n'ai pas envie d'exposer ici mais lui le sait. Enfin je pense.
Je t'aime de tout mon coeur de kaOUUUtchouc. 

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